Collection
Cuff
-links
Des boutons de manchette au doigt
Cette collection de bagues donne une seconde vie aux boutons de manchettes. Au-delà d’une bague up-cyclée, porter une cuff-links c’est devenir un trait-d’union entre le passé et aujourd’hui. C’est incarner la femme contemporaine qui écrit la suite de son histoire.
Mais ce n’est pas tout ! Cette collection veut également contribuer à l’émancipation de la femme. Surtout Emilie croit que l’inclusion est plus forte que l’exclusion. Une femme qui porte à son doigt une bague Cuff-links, porte le signe de l’inclusion homme-femme vers un monde plus juste. Découvrez aussi Le Projet 4F !
Un bijou d’homme hier, porté par une femme contemporaine, c’est signer l’inclusion du genre
Découvrez ci-dessous les cuff-links portées dans le cadre du projet “UNE FEMME, UNE BAGUE”. Une série de portraits de femmes de la vraie vie, avec de vraies rides, de vraies imperfections et des vraies émotions face à l’objectif de Jehanne Hupin.
Elle sont belles, elles sont justes… comme le veut la philosophie du wabi-sabi. Toutes des femmes rencontrées au fil du temps, rayonnantes dans qui elles sont !
Alexandra
” Quelque part au milieu”
J’ai toujours aimé le prénom Jeanne.
Intemporel il a un son délicieux.
La fragilité c’est la force en son juste milieu
C’est la nuance et l’art volatile
Jeanne n’est pas fragile, ce sont ses os qui sont fragiles.
Je ne suis pas fragile, c’est le bruit, le chaos et les débordements qui le sont.
Le juste c’est la danse du bruit avec la musique
C’est le milieu où la culture est le refus du néant
Exigence du trop
Femmes aux multiples facettes
Rôles aux variables hauteurs
J’ai parfois le vertige. Vais-je décevoir ?
M’épuiser et puis me laisser porter
Être à la bonne hauteur
Prendre de la hauteur pour voir
Encore ce juste milieu?
Se mettre trop haut et perdre la barre
Trop haute la barre est
Ôte de moi mon émoi
Que je puisse m’autoriser
Une fragilité fragmenté et sécure.
Poupées russes photographiées
Je vois son regard sur moi, je suis touchée
Je suis shootée…Je rentre dans une fragilité stable.
Un juste milieu quelque part entre mes 40 et ses 80.
Laura
Résistance. Sache que
Si tu lâches, il y a de la ressource.
Il reste l’élan.
Les élans de ma vie, je les ai toujours portés à plusieurs.
Plus facile. Moins fragile. Plus résistant.
Aujourd’hui je veux porter seule mon élan.
Lui donner l’impulsivité d’une seule source.
La mienne.
Vais-je me déce-voir ?
Quels centimètres de hauteur sont recommandés ?
Faut-il des mètres ? Des kilomètres ?
Va-t-on regarder, voir et reconnaitre ?
Me recon-naître d’un élan seule.
Vais je me regarder ? Et aimer ?
Je flotte sur ça. Et pourquoi faire ça ?
Je l’aime ce côté de moi, dans l’air.
L’air du temps.
Le vent souffle et me pousse
L’élan, l’air dont j’ai besoin
Le courant d’air que j’entre vois.
Entre et vois.
Que seule tu à le droit.
Légitime tu seras
Quand?
Laura dans l’air se recon-naîtra
Marie
Elle a lancé le dé,
M’a montré les ficelles
Sa passion d’en découdre !
Ami,
Cétait ma grand-mère
C’est elle qui m’a montré.
Aujourd’hui
Je coupe dans les matières
D’un autre style
D’un autre genre
D’une autre époque
Et j’en sculpte les codes
Avec structure
Passion
conviction
Tout se transforme
Rien ne se perd
C’est dans cet état d’esprit
Que Je veux coudre
Chaque pan de ma vie
Sans me défiler
Me faufiler
Derrière des convenances
Des fausses apparences
Je sens que la machine avance
Et à chaque
Point tracé,
Je sais que
Je grandis.
Stephanie
Toute ma vie rentrer dans des cases.
49 cases au moins cachaient la douceur du cachemire.
Je déteste les conventions.
J’aime la douceur.
Aujourd’hui, la cinquantième je me l’offre.
La case s’adapte à moi. C’est indispensable.
De rien je ne me cache à présent.
50 raisons et plus d’être moi.
Et d’en avoir
Un petit peu rien à foutre.
Et puis, clic le cache s’enlève.
La case s’adapte à moi
Tout est plus facile…. Pas de clache, rien ne cloche.
Il y a toujours du liens, de l’amour.
Ose te montrer…3 pas en avant. 3 pas en arrière.
50 sans concurrence, sans séduction.
On est cash sans case
On ne se cache de plus rien même de soi.
On est qui on est.
Le reste…on s’en fou
Et pour tout le cash du monde, je ne change cette case.
Je n’ai rien à rajouter.
Ha si…Je déteste le papier Scotch